L’excavatrice brisa la roche, et les mineurs découvrirent quelque chose de stupéfiant : une trouvaille qui bouleversa la perception du temps et de la réalité.

Alors que les machines rugissaient dans les profondeurs de la montagne, un fracas sourd retentit. L’un des bras mécaniques venait de transpercer une paroi vieille de millions d’années. Les ouvriers, habitués à la monotonie des couches minérales, se figèrent. Derrière la roche brisée, un espace vide apparut — une cavité parfaitement taillée, comme façonnée par une intelligence ancienne.

À l’intérieur, reposait un objet inconcevable : un disque en métal lisse, gravé de symboles inconnus qui semblaient briller faiblement dans l’obscurité. Plus troublant encore, une lumière pulsait doucement autour, bien qu’aucune source d’énergie ne fût visible. L’air y était étrange, dense, presque vivant.

Des spécialistes furent appelés. Ce qu’ils découvrirent défiait l’entendement : le métal n’appartenait à aucun élément connu sur Terre, et les inscriptions reflétaient une connaissance avancée du temps, de l’espace, et même de la conscience. Les horloges cessèrent de fonctionner à proximité. Des rêves étranges hantaient les nuits des chercheurs.

Peu à peu, une vérité vertigineuse s’imposa : cette découverte n’était pas humaine. Elle datait d’avant l’histoire, d’avant même l’idée du temps. Elle révélait une réalité parallèle, une mémoire enfouie dans la pierre. Ce jour-là, les mineurs ne déterrèrent pas une relique — ils réveillèrent un secret.