Des nonnes d’un certain monastère ont commencé à tomber enceintes… Mais ce que la caméra cachée a révélé a choqué tout le monde !

Par Clémence Varin | Dossier exclusif pour le magazine Mystères & Vérités


Il y a des histoires que l’on préfère croire inventées. Des récits si étranges, si contraires à tout ce que l’on pense connaître, qu’ils semblent tout droit sortis d’un roman gothique ou d’un film d’horreur. Pourtant, ce qui s’est passé dans un monastère reculé des montagnes d’Europe centrale est bel et bien réel — et les images filmées en secret ont plongé tout un pays dans l’effroi et l’incompréhension.


Silence, prières… et grossesses inexpliquées

Tout a commencé discrètement. Une rumeur, d’abord, portée par les échos d’un village voisin. On disait que plusieurs sœurs d’un couvent autrefois réputé pour sa rigueur avaient été transférées « pour raisons médicales ». Rien de plus. Jusqu’à ce qu’une infirmière d’un hôpital régional fasse une découverte impossible à ignorer : trois jeunes nonnes enceintes — toutes du même monastère.

L’affaire aurait pu être étouffée, comme tant d’autres, si un ancien prêtre, expulsé de l’ordre pour ses « questions indiscrètes », n’avait pas décidé d’agir. Avec l’aide d’un journaliste indépendant, il réussit à installer une caméra cachée dans une partie commune du couvent.

Les images qu’ils ont récupérées quelques semaines plus tard allaient bouleverser tout ce qu’on croyait savoir sur la vie cloîtrée.


Ce que la caméra a montré…

Au départ, tout semblait normal. Les sœurs vaquaient à leurs routines : prière, cuisine, entretien du jardin, silence sacré. Mais chaque nuit, vers 3 h du matin, un phénomène étrange se répétait.

Une porte dissimulée derrière un ancien autel s’ouvrait mécaniquement, laissant apparaître un escalier de pierre menant vers une crypte oubliée — une crypte qui, selon les archives officielles du diocèse, n’existait pas.

Et c’est là que l’indicible commençait.

Les images montrent des silhouettes encapuchonnées — toutes de noir vêtues, visages masqués — entrant dans le monastère par cette crypte. Les sœurs, comme sous hypnose, descendaient à leur rencontre. Ce qui se passait ensuite est flou, dérangeant, presque irréel : des chants en latin ancien, des gestes rituels, des substances versées dans des calices, puis… l’extinction de la caméra.

Ce qui est sûr, c’est que neuf nonnes sont tombées enceintes dans les six mois qui ont suivi.


Une secte dans les murs de Dieu ?

Les autorités religieuses ont immédiatement nié toute implication, parlant d’un « canular monté par des ennemis de l’Église ». Pourtant, après la diffusion partielle des images sur un site d’investigation, le Vatican a discrètement envoyé des représentants pour enquêter — sans jamais publier le moindre rapport.

Certains parlent d’une secte occulte infiltrée dans les ordres religieux, d’autres d’un ancien rite païen caché derrière le vernis de la foi chrétienne. Les plus extrêmes vont jusqu’à évoquer des entités surnaturelles et des expériences génétiques visant à créer une lignée « pure et mystique ».


Et les enfants ?

Les naissances ont été entourées d’un secret total. Les mères ont disparu, officiellement « envoyées en retraite spirituelle prolongée ». Les nourrissons, selon certaines sources hospitalières anonymes, auraient été confiés à des « familles partenaires » dont l’identité reste classée.

Mais une chose est certaine : les tests ADN pratiqués en secret ont révélé l’impensable. Aucun des bébés ne partage de patrimoine génétique humain tel qu’on le connaît. Des mutations. Des anomalies. Des séquences non identifiées. Une biologiste ayant eu accès à ces résultats aurait quitté brusquement son poste après avoir déclaré :
« Ce ne sont pas des enfants. Ce sont des réponses à une question qu’on n’a jamais posée. »


Conclusion : Quand le sacré se brise

L’affaire du monastère reste officiellement non reconnue. Mais les images, les témoignages, et surtout les disparitions — mères, médecins, témoins — laissent planer un parfum de vérité que même les silences les plus pesants ne peuvent effacer.

Une seule question reste sans réponse : qui, ou quoi, attendait depuis des siècles derrière cette porte oubliée ?